Je me souviens encore de la brûlure sur mes cuisses infligée par le pc portable lorsque qu’une envie folle d’ouvrir un blog s’était imposée à moi. Les mois se sont écoulés, les posts se sont diversifiés et… vous étiez là. Encore aujourd’hui.
En quittant ce blog, je pensais vous offrir un véritable site et une expérience enrichie que wordpress ne pouvait pas m’offrir sur cette plateforme. Mais, je me rends compte que vous semblez attachés à ce petit blog bleu car vous êtes toujours aussi nombreux à venir le consulter et à vous y abonner. Quand je regarde les stats, je me dis : « Mince ! Tu ne peux pas laisser ce blog à l’abandon ! » . Vous paraissez attendre l’info croustillante, mais celle-ci ne vient pas, et j’en deviens moi-même frustrée !
Sur ce blog, je prenais plaisir à écrire des histoires courtes lors d’atelier d’écriture. Mais ça, c’était avant…
Ma vie n’est plus la même depuis 1 an : j’ai arrêté mes études, trouvé un travail, acheté un bien… Les travaux me demandent beaucoup de temps et en laissent finalement peu pour mes projets. En ce moment, je suis surbookée par ma vie privée et j’ai beaucoup de mal à me dégager du temps pour surfer sur internet et partager des instants avec vous. Je dois aussi écrire mon tome 3 qui ne pèse qu’un petit prologue (à retravailler en plus) et des plans gribouillés sur un cahier.
Alors, la question du moment est la suivante : dois-je reprendre ce blog en plus de mon site actuelle comprenant lui-même un blog ? Ou dois-je me concentrer sur mon site actuel ? Ou dois-je coupler les deux sites (avec une petite refonte de nanimaginaire) en officialisant celui-ci comme blog de melaniewency.fr ? Je ne pense pas détenir la réponse. Vous, par contre, vous l’avez sans doute !
Je compte bien reprendre du service, notamment en postant des articles plus « personnels » sur l’avancée du tome 3 et un webroman plus adulte. Mais aussi reprendre la plume, comme avant.
Avez-vous envie que je relance la machine de ce blog ? Je dois vous avouer qu’il me manque et que vous me manquez aussi. Parce que vous étiez mon moteur et que, sans vous, c’est pas pareil !